Petit bémol toutefois pour nos frères d'armes de la Gendarmerie Nationale ayant très récemment reçu le soutien de leur Directeur Général qui a publié une lettre dans laquelle il renouvelle sa confiance dans les troupes et les assure de son soutien, n'hésitant pas à fustiger les excès de celles et ceux qui comparent Georges FLOYD aux USA avec le cas français d'Adama TRAORE.
Les meneu-rs-ses de foule, dans leur délire mégalo-paranoïaque, entraînent des milliers de militants et sympathisants souvent jeunes et aveuglés, vers l’espoir d’un monde qu’ils imaginent meilleur mais en réalité plus sûrement vers un abîme d’animosités et de rancœurs. On vocifère, on éructe, on s'agenouille poing en l'air et on chante le répertoire du Black Panther Party comme si la France était l'Amérique d'il y a plus de 50 ans, comme si les policiers français étaient tous des Derek CHAUVIN !
Écrire ces lignes n’est pas un acte mythomane c’est une action militante et citoyenne, une mission de salut public face au danger qui menace la République
https://www.facebook.com/1200171633/posts/10222759620998032/
Si vous n’avez pas de compte Facebook, vous trouverez ci-dessous l’intégralité de son message en date du 3 juin 2020
Pourquoi je dépose plainte :
« Arabe
de service, pute à blancs, beurette des uniformes, que ta mère se
fasse éborgné, ton père un coup de tonfa dans le cul... »
Tout ça d’anonymes. Ça va j’ai le cuir tanné, à force j’encaisse. Après tout, Yves et Luc aussi ont dû faire avec.
Pourquoi
toutes ces insultes ? Parce qu’on est obligés en tant que
syndicalistes de faire le travail de notre institution dont les
grands chefs sont trop couards pour s’exprimer autrement que dans
un bureau style Napoléon III ou sur Twitter.
Quand on leur
demande d’améliorer notre qualité de vie professionnelle ils
sortent les Excel et les boutons de manchettes retroussées, ils nous
répondent non allez manger du sable. Mais pour prêter le flanc à
la critique y a plus personne, pour opposer des faits à des
militants qui leur font peur, rétablir la vérité quand certains
disent que des policiers à Paris XXème le 28 mai ont employé sur
un homme au sol la même méthode que ce policier américain sur
Georges Floyd (alors qu’il suffirait juste d’expliquer qu’à
Paris l’homme est sur le DOS non menotté, le genou du policier sur
sa mâchoire et que ça a duré qq secondes). Mais pour cela faudrait
connaître un poil le métier, s’intéresser aux agents, avoir
vraiment envie d’être devant eux les mener et les défendre, ne
pas avoir peur de parler à la jeunesse dans les quartiers, celle qui
a besoin d’entendre que non la police n’est pas raciste, qu’il
y a, oui,une poignée de xénophobes indignes de l’uniforme qu’il
faut impérativement écarter, mais que non ça ne représente pas
une institution et ces hommes. Mais puisqu’ils ne le font pas nos
Grands Chefs Tout Puissants c’est pour notre pomme. Et on le fait,
car on aime notre métier et nos collègues. Que moi je suis fière
d’être policière et je le suis encore + de mes collègues. Et
la haine s’abat sur nous....
20
ans que je milite : contre les racismes et les phobies, les
inégalités et les souffrances sociales ou professionnelles.
Et
là, Taha Bouhafs se sent pousser des ailes et dépasse les bornes.
Pour lui si on est maghrébin(e) on doit finir ignorant, haineux et
stigmatisant comme lui ?
0 argument + trop de haine en lui
=
Après plusieurs attaques perfides à mon encontre, le voilà
qu’il passe un palier et profère une injure publique à caractère
raciste. Et de la part d’un journaliste en + ! Raciste
et pas courageux.
Assez
de ses incitations à la haine, de ses mensonges et manipulations.
Pour éviter qu’il ne se sente impuni, monte en gamme et lance
ensuite un appel à la violence :
***JE DÉPOSE PLAINTE***